
des princesses elles prennent des airs.
Superficielles depuis leur naissance,
elles ne soignent que leur apparence.
La beauté pour seule philosophie,
un cerveau bien proche de l’atrophie,
à regarder elles sont plus qu’exquises
mais témoignent d’une grande bêtise.
Ecervelées dont l’âme est en plastique,
pardonnez-moi d’être aussi sarcastique
mais je me méfie des pâles icônes,
de toutes ces barbies en silicone.