Œuvre de Frédéric Biotteau
Petite sœur, perle rare d’une promesse d’amour ,
enchanteresque odeur d’un départ dans tes yeux de velours,
tu m’inspires le joli songe d’une tendresse d’été,
un enivrant tourbillon qui me transporte de fierté.
Petite sœur, ta douce beauté à l’antenne dévoilée
me donne l’illusion éphémère d’être à tes côtés.
Caresse de ces larmes qui perlent sur mon visage
grâce à l’intense émotion de voir briller ton image.
Petite sœur, ma princesse que je n’ai pas épargnée
quand les ombres de mes maux me torturaient jusqu’à hurler,
je souhaite encore aujourd’hui te présenter mes excuses,
même si tu m’as mille fois pardonné je m’accuse.
Petite sœur, ne t’inquiète plus mes ailes ont repoussé
et de ma plume j’écris ces vers qui te sont destinés.
Je te rassure divine muse, j’ai repris espoir,
je ne permettrai plus jamais à mes anges de déchoir.
Petite sœur, mes pensées voguent vers ton lointain pays,
poussées par un léger vague à l’âme et l’amour en vigie.
Voyage d’un cœur qui clame la force des liens du sang,
guidée par toi ma belle étoile, reine du firmament.
enchanteresque odeur d’un départ dans tes yeux de velours,
tu m’inspires le joli songe d’une tendresse d’été,
un enivrant tourbillon qui me transporte de fierté.
Petite sœur, ta douce beauté à l’antenne dévoilée
me donne l’illusion éphémère d’être à tes côtés.
Caresse de ces larmes qui perlent sur mon visage
grâce à l’intense émotion de voir briller ton image.
Petite sœur, ma princesse que je n’ai pas épargnée
quand les ombres de mes maux me torturaient jusqu’à hurler,
je souhaite encore aujourd’hui te présenter mes excuses,
même si tu m’as mille fois pardonné je m’accuse.
Petite sœur, ne t’inquiète plus mes ailes ont repoussé
et de ma plume j’écris ces vers qui te sont destinés.
Je te rassure divine muse, j’ai repris espoir,
je ne permettrai plus jamais à mes anges de déchoir.
Petite sœur, mes pensées voguent vers ton lointain pays,
poussées par un léger vague à l’âme et l’amour en vigie.
Voyage d’un cœur qui clame la force des liens du sang,
guidée par toi ma belle étoile, reine du firmament.
Dès les premières lignes on se fait transporter par ton poème !
RépondreSupprimerJuste un mot : SUPERBE !
Deviendrais-tu Poète Laêtitia? ;)
Me encanta!!!! que lindo!!!!
RépondreSupprimerTu es une perssone très douce!!, tu es magnifique!!! tes mots son superbes!!!!!!
Ta petite soeur va être fier de toi!
J'adore, encor une fois!!!!!!
RépondreSupprimerje t'embrasse fort
Tout d'abord je tiens à te remercier toi Chloé, ton mot écrit en majuscules est tout simplement adorable, ravie que tu lises mes poèmes, ravie que tu les aimes. Je ne deviens pas poète chère Chloé, j'écris de la poésie depuis que je suis petite, ça a toujours été un loisir que j'aime beaucoup.
RépondreSupprimerJ'espère que tu viendras à nouveau me laisser d'autres commentaires.
à bientôt j'espère.
Je te remercie maintenant toi ma chère Françoise. Je ne sais pas vraiment si je suis une personne douce mais que tu le penses me va droit au coeur. Merci de ces mots qui sont plus qu'un encouragement!
RépondreSupprimerJe ne sais pas encore ce qu'en pense ma petite soeur, elle n'a pas encore eu l'occasion de me le dire mais je t'avoue que j'ai hâte de savoir.
Mille bisous
Merci à toi Marine également, je suis ravie que tu adores celui là aussi.
RépondreSupprimerMoi aussi je t'embrasse très fort et je pense très fort à toi.
Prends soin de toi surtout.
C'est à mon tour de voir perler des larmes sur mon visage, merci...
RépondreSupprimerJe suis ravie que l'émotion que je voulais te transmettre soit passée et soit allée jusqu'à Berlin. Sinon je crois que j'ai dit le principal dans mon poème. Je t'aime Petite soeur.
RépondreSupprimerJ'ai écrit ce poème le 16, 17,18 19 et 20 août 2009 suite à la diffusion des mini-reportages sur Berlin tournés par France 2 pour le mondial d'athlétisme dans lesquels ma petite soeur partageait la vedette avec Patrick Montel, célèbre commentateur sportif.
RépondreSupprimer:) aucun mot, juste un immense sourire...
RépondreSupprimerUn de ceux qui enchantent mon coeur de grande soeur! Merci...
RépondreSupprimerTu es arrivée à exprimer la complexité de l'amour qui unit deux soeurs en un poème. Magnifique, encore et encore.
RépondreSupprimerMerci énormément Marie! J'ai écrit ce poème avec mon coeur et mon âme.
RépondreSupprimerJ'aime très fort ma petite soeur et je suis ravie que tu l'aies ressenti à la lecture.
Sourire
Ton nouveau texte est gorgé de couleurs estivales. C'est surtout un bel hommage, un tendre espoir que ta sœur a su incarner. La lumière de l'avenir dissipe les ombres du passé. Tes ailes sont tissées de l'amour de tes proches.
RépondreSupprimerJe l'ai écrit sur mon balcon sous les caresses du soleil c'est peut-être pour ça qu'il est aux couleurs de l'été.
RépondreSupprimerC'est une déclaration d'amour, un amour qui effectivement me donne des ailes...
Merci beaucoup Frédéric et merci également pour ce magnifique tableau qui illustre parfaitement mon poème et qui trône superbement dans mon salon.
à bientôt
Je n'ai trop grand chose à dire sur le poème en lui même Oo
RépondreSupprimersauf que pour la première fois tu utilises la répétition, ce qui est un bon procédé
et sinon, c'est très très touchant
Merci Rêvelin, ce que tu me dis là suffit à m'encourager encore et encore.
RépondreSupprimerSourire
Coucou ma belle!
RépondreSupprimerUn poème céleste aux doigts d'amour.Quelle belle métaphore!
Tes vers sont touchants,sincéres, bel hommage.
Bonne continuation.
Au fil des jours et de tes textes ton style s'affirme, cela se voit. Quelle belle déclaration, ta soeur doit être touchée. On le pourrait l'être autrement!
RépondreSupprimerMerci à toi Douce Ocelline! J'ai écrit ce poème avec le coeur, j'ai été guidée par cet amour puissant qui me lie à ma petite soeur.
RépondreSupprimerSourire
Ton appréciation est le plus beau des cadeaux mon chéri. Je ne sais pas si mon style s'affirme mais que tu le penses me comble de joie. Je souhaite également te remercier d'être toujours à l'écoute de cet univers qui est le mien même si ce n'est pas toujours facile pour toi. Ma petite soeur a été tellement touchée en lisant ce poème qu'elle en a pleuré.
RépondreSupprimerJe t'aime mon chéri et je te remercie de prendre le temps de me donner ton ressenti.
Sourire ? Tu cotises pour tes vieux jours à la mutuelle du sourire ? lol
RépondreSupprimerJe crois que je vais faire la même critique que d'habitude...
Le fond est tout ce qu'il y a de plus touchant et poétique... Mais j'ai du mal à me faire à ton rythme :O
Merci F.Rahl! Je sais que tu es un accro à la poésie classique et aux alexandrins, je ne me préoccupais pas du rythme avant de m'inscrire sur Danse des mots et de lire vos commentaires à Rêvelin et toi, aujourd'hui tu remarqueras que je fais des efforts. Mes vers sont de plus en plus réguliers mais je ne connais pas les règles. Donc si tu as des conseils à me donner je suis toute ouïe.
RépondreSupprimerJ'écris avec le coeur et l'âme mais je ne connais pas la technique.
Je suis cependant absolument ravie que mon poème te touche.
Oui je cotise à la mutuelle du sourire depuis sa création.
Sais-tu que je voulais devenir marchande de sourires quand j'étais petite?
Sourire
Ah oui ? Sourire
RépondreSupprimerSi tu veux des conseils, je te ferai savoir les terribles règles de la métrique...
Ce sera un grand plaisir! Merci beaucoup!
RépondreSupprimerSourire
Comme promis, je vais t'expliquer pour commencer les bases pour faire des vers réguliers.
RépondreSupprimerDéjà commence par prononcer toutes les syllabes. Ceci inclut donc les -e muets.
Un e muet finit par exemple le mot "angle". Le e muet n'est pas prononcé s'il est placé devant un mot qui commence par une voyelle (exemple : angle ouvert (an glou vert)).
Prononcé s'il est devant une consonne (exemple : angle mort (an glE mort)).
Si un mot se terminant par un e muet est au pluriel (exemple : terribles), on prononcera devant une voyelle (te rri ble zé taux) et devant une consonne (te rri ble morts).
Diérèse : dans des cas particuliers on peut décider pour renforcer un mot dans un vers de lui rajouter une syllabe. (ex: le lion (deux syllabes) peut faire avec diérèse (le li on)) (ex2: l'O rient (deux syllabes) peut faire avec diérèse (L'O ri ent)) etc.
Si tu sais prononcer correctement toutes les syllabes en lisant une phrase, c'est comme ça que tu es censée lire un poème, surtout quand tu es en train de l'écrire.
Si tu as des remarques au sujet de mes ténébreuses explications, je rééxplique.
Merci beaucoup à toi !!
RépondreSupprimerJuste une question, lorsque qu'un e muet est en fin de vers doit-on le compter ou non?
Sourire
Non, on ne compte pas le e muet du fin de vers.
RépondreSupprimerPetit éclaircissement sur les alexandrins :
Classique :
L'alexandrin classique se présente tel que ces deux-ci au choix :
Or ce grand paradis, est le plus grand du monde.
Voulant mesurer l'angle, où se plongeaient ses yeux.
Les deux respectent la césure (explication ) :
L'alexandrin de douze syllabes doit pouvoir se prononcer comme deux hexamètres accolés...
(voilà qui ne marche pas quand on fait ceci) est un alexandrin qui ne respecte pas la césure : en effet, si on place la coupure imaginaire (césure) au milieu (entre les sixièmes et septièmes syllabes), celle-ci tombe sur un mot.
(voi là qui ne mar chE|(césure maladroite car on tombe sur le E muet de marche, obligé d'être prononcé pour que ça fasse douze) pas quand on fait ce ci)
Donc pour éviter les problèmes de césures, il faut soit que la première hémistiche (l'hémistiche est un demi alexandrin (ses 6 premières ou dernières syllabes)) ne se termine pas par un E muet, soit que la deuxième hémistiche commence par une voyelle, pour ne plus avoir à prononcer le E muet de la fin de la première hémistiche. (cf : tout en haut).
Pour remédier au problème de césure, on peut décider d'adopter une césure épique, qui permet de ne pas prononcer les -e muets en fin de première hémistiche. (ainsi les vers épiques se prononcent comme deux hexamètres séparés, comportent en théorie une treizième syllabe à la césure, mais qu'on ne prononce pas pour faire un alexandrin)
Le vers néo-classiques :
L'alexandrin néo-classique, plus souple que le classique, ne respecte pas obligatoirement la césure.
Ainsi le vers dénoncé plus haut (voilà qui ne marche pas quand on fait ceci) est néo-classique.
Voilà, un petit boulot d'assimilation, mais sans ça tu sais presque tout
Surtout tu risques d'avoir des questions, donc n'hésite pas...
Je regarderai les poèmes que tu décideras de plier aux règles, pour repérer ce qui ne va pas, et qu'on puisse en parler.
Ensuite pour écrire facilement sans se tromper dans l'alexandrin, surtout ne compte jamais avec tes doigts (sauf la première fois peut-être), mais garde le rythme 123456 123456 dans ta tête, et entraîne-toi à parler en alexandrin (oui oui) même si ça ne rime pas.
Merci beaucoup, je t'avoue qu'il me restait de vagues souvenirs, j'avais appris ça à l'école mais je ne m'en souvenais que trop peu.
RépondreSupprimerTes explications sont très claires, je pense que les questions viendront pendant l'écriture mais je te le dis tout de suite je ne compte pas m'essayer aux alexandrins tout de suite.
Je suis en train d'essayer d'écrire un poème avec des vers réguliers de 9 syllabes, pour l'instant ça va.
Merci encore F.Rahl de tes précieux conseils.
Sourire
Bonjour, douce Malia !
RépondreSupprimerMagnifique poème, qui, je l'avoue, me fait penser à ma propre petite soeur... =)
Célia
Merci beaucoup Petite Elfe Célia, ravie que mon poème t'amène à penser à ta petite soeur, que de doux sentiments !!
RépondreSupprimerà bientôt
Sourire
Cela dit, si tu sais donner n'importe quel rythme à tes poèmes, c'est un très grand avantage !
RépondreSupprimerJe ne sais pas encore mais je vais essayer...
RépondreSupprimerMerci encore une fois F.Rahl !!
Tu m'ouvres les portes d'une manière d'écrire différente de ce que j'ai fait jusque là.
Sourire
Ma belle,qu'il soit régulier ou pas, ça ne change rien à ton art,mais ça sera une embellie, poursuit ton chemin.
RépondreSupprimerQue la lumière de la lune et Dana l'éclairent jusque dans tes rêves.
Bonne nuit dors en paix le sourire aux lévres, je veillerai sur toi jusqu'au petit matin .
Merci beaucoup de tes encouragements Douce Ocelline!
RépondreSupprimerTu es un ange!
Sourire
magnifique tres émouvant,je suis fière de toi,on voit que c'est le coeur qui parle et c'est le plus beau des langages,bisous l'artiste
RépondreSupprimerAbsolument ravie et très touchée que tu sois fière de moi. J'écris la plupart du temps avec le coeur et l'âme et bien souvent l'on me dit que c'est ainsi que j'écris le mieux.
RépondreSupprimerMerci de ton commentaire, j'espère en découvrir très bientôt de nombreux autres.
Bisous
Très beau poème, comme toujours. Très touchant.
RépondreSupprimer=)
Merci beaucoup écrits-et-plumes! Mon écriture a été guidée par l'amour que je porte à ma petite soeur. Et en lisant ton poème du même nom je sais que tu connais ce merveilleux sentiment.
RépondreSupprimerSourire
Très touchant ce poème également Malia.
RépondreSupprimerJe l'ai d'abord lu silencieusement, et je l'ai trouvé bien mais parfois un peu lourd par le rythme et certaines tournures. Puis je l'ai lu à haute voix et ça a donné un aspect différent. J'ai eu l'impression en fait de lire une lettre adressée à ta soeur plus qu'un poème ça donne un bel effet.
Et désolé du retard de mon commentaire....
Dark.
Merci Dark, ne t'excuse pas pour le retard, mieux vaut tard que jamais.
RépondreSupprimerC'est effectivement comme une lettre mais avec des rimes, je voulais dire à ma petite soeur combien je suis fière d'elle et je me sens plus à l'aise pour le dire en vers.
Sourire
Un poème très très touchant, que j'ai beaucoup apprécié
RépondreSupprimerNotamment :
"Petite sœur, ma princesse que je n’ai pas épargnée
quand les ombres de mes maux me torturaient jusqu’à hurler,"
"Voyage d’un cœur qui clame la force des liens du sang,
guidée par toi ma belle étoile, reine du firmament."
Par contre je trouve qu'il manque une virgule quelque part (après muse je pense) dans ce vers :
"Je te rassure divine muse j’ai repris espoir"
Merci Seeya!!!
RépondreSupprimerEnchantée que mon poème à ma petite soeur te plaise.
Je suis d'accord avec toi en ce qui concerne la virgule, je vais changer ça de suite, merci.
Sourire
C'est juste Magnifique, merveilleux...
RépondreSupprimerTa soeur peut être fière de toi!!! C'est beau d'avouer ses fautes et de laisser place au pardon!!
Je n'ai pas cette chance avec la mienne!!!
Tu veux son tel??? hihihi!!!
Bisous et bravo!!!
Merci Corinne! Ravie que tu aimes également celui-ci. Ma petite soeur en lisant ce poème a été émue aux larmes, j'avais besoin de lui dire tout ça. Je suis très fière d'elle.
RépondreSupprimerNon merci pour le numéro de ta soeur...lol
Bisous