Quand son sarcastique« hélas » toque dans sa tête,
Le traque, l’attaque, il craque et débloque.
L’égo tique, étriqué à bloc, bien trop esthète,
A truquer sa quête intrinsèque, la disloque.
Narcissique il s’enfonce, s’encastre dans ses frasques,
S’esseule coincé face à sa glace encrassée,
Se creuse, se ride ce vide sous son masque
Puis, sans déclic, s’efface, laissé au passé.
Repoussant ses excès sur des cliques, des claques,
L’ « ASSEZ » de ses proches sonne en écho aphone.
Lassés par cent soucis assénés, ils le plaquent
Sans effleurer l’accès de ce cœur presque atone.
Sculptant ses stigmates qu’il ausculte sans cesse,
L’astigmate déchu essaie la cécité.
Sali par son arrogance, il se compresse
Dans son nombril dantesque et suit sa frivolité.
Malgré lui le ressac du tic-tac le rattrape,
Le tasse en passant jusqu’à l’affaisser, le plisse,
Lui croque sa superbe, le claustre sans trappe,
Sur place et sans complice il meurt en coulisses.
Cet acteur sans spectateur de sa déchéance
S’est lui-même éclipsé par manque d’éclectisme.
En terre entre ses planches, sans condoléances,
Il comprend l’ironie du sort de l’égoïsme.
Le traque, l’attaque, il craque et débloque.
L’égo tique, étriqué à bloc, bien trop esthète,
A truquer sa quête intrinsèque, la disloque.
Narcissique il s’enfonce, s’encastre dans ses frasques,
S’esseule coincé face à sa glace encrassée,
Se creuse, se ride ce vide sous son masque
Puis, sans déclic, s’efface, laissé au passé.
Repoussant ses excès sur des cliques, des claques,
L’ « ASSEZ » de ses proches sonne en écho aphone.
Lassés par cent soucis assénés, ils le plaquent
Sans effleurer l’accès de ce cœur presque atone.
Sculptant ses stigmates qu’il ausculte sans cesse,
L’astigmate déchu essaie la cécité.
Sali par son arrogance, il se compresse
Dans son nombril dantesque et suit sa frivolité.
Malgré lui le ressac du tic-tac le rattrape,
Le tasse en passant jusqu’à l’affaisser, le plisse,
Lui croque sa superbe, le claustre sans trappe,
Sur place et sans complice il meurt en coulisses.
Cet acteur sans spectateur de sa déchéance
S’est lui-même éclipsé par manque d’éclectisme.
En terre entre ses planches, sans condoléances,
Il comprend l’ironie du sort de l’égoïsme.
Bonjour,
RépondreSupprimerJe passe par ici et très sincèrement, j'aile beaucoup ce que tu fais! Il y a un véritable univers qui se dégage, une mélodie des mots...du coup je compte suivre ton blog de près!
En tout cas, patienter pour avoir l'autographe de ce cheeer Mathias en ta compagnie était très agréable, je m'en souviendrai (bon, malgrè le temps d'attente certes, mais après tout ç fait partie du jeu et puis j'ai bien rigolé) :)
Bises, et bonne continuation!
Gaëlle
Bonjour Gaëlle !!!
RépondreSupprimerRavie d'avoir de tes nouvelles !!!
Moi aussi j'ai passé un agréable moment à faire le pied de grue !! Sourire
Ravie que tu aimes mes vers.
Si tu souhaites voir le blog collectif dont je t'ai parlé c'est ici : http://lacomtessetation.blogspot.com
Bises
Sourire
Laëtitia
coucou Laëtitia
RépondreSupprimerj'aime ces vers! c'est la fête des mots! bravo pour cette belle musicalité du poème.
Prisca
Je suis sous le charme, et pourtant pas spécialement passionné de poésie :-) Joli tempo, dans ces mots. Bravo !
RépondreSupprimerMerci beaucoup Prisca !!!
RépondreSupprimerVraiment ravie que ça te plaise!!
Sourire
Merci Bregman !!
Tes mots me vont droit au coeur !!
Sourire
pour ce qui à été , ce qui est , et ce qui vient ...yan
RépondreSupprimerMerci !
RépondreSupprimerSourire