Ces molécules d’espoir ne t’ont pas sauvée,
Leur lueur s’est faite rare avant de s’éteindre.
Elles n’ont pu qu’un instant nous laisser rêver
Qu’il nous restait l’éternité pour nous étreindre.
Mais le chancre a vaincu notre tendre bonheur,
Il est venu sans bruit t’arracher à la vie.
Je t’ai tant vue subir ces atroces douleurs
Que j’ai été soulagé quand tu es partie.
Le mal s’est abattu me poussant à la nuit,
Sans toi, mon étoile, je me noie dans l’oubli.
Le temps s’est arrêté, plus jamais il ne fuit
Et moi je me perds dans une sombre folie.
Je m’accroche au souvenir de ton doux visage
Pour sortir de mon ombre et voiler ma détresse.
Seul sur mon bateau, j’évite ainsi le naufrage
Mais j’erre à la dérive, aveuglé de tristesse.
Je jette ici l’encre pour libérer mon cœur
Usé de se battre dans mes marées noires.
Je viens là déverser le flot de ma rancœur
Pour ne pas échouer sur l’ile du désespoir.
Je ne suis qu’un fantôme, avec toi je suis mort,
Je ne vis qu’en sommeil quand tu peuples mes songes.
J’attends tout le jour l’instant où je m’endors,
L’impatience me malmène et toujours me ronge.
Mes yeux n’ont que ces larmes peignant le tableau
De ce qu’hier m’a volé et ne rendra jamais.
Chaque matin me ramène à tous mes sanglots,
Le soleil me voit me réveiller à regrets.
Leur lueur s’est faite rare avant de s’éteindre.
Elles n’ont pu qu’un instant nous laisser rêver
Qu’il nous restait l’éternité pour nous étreindre.
Mais le chancre a vaincu notre tendre bonheur,
Il est venu sans bruit t’arracher à la vie.
Je t’ai tant vue subir ces atroces douleurs
Que j’ai été soulagé quand tu es partie.
Le mal s’est abattu me poussant à la nuit,
Sans toi, mon étoile, je me noie dans l’oubli.
Le temps s’est arrêté, plus jamais il ne fuit
Et moi je me perds dans une sombre folie.
Je m’accroche au souvenir de ton doux visage
Pour sortir de mon ombre et voiler ma détresse.
Seul sur mon bateau, j’évite ainsi le naufrage
Mais j’erre à la dérive, aveuglé de tristesse.
Je jette ici l’encre pour libérer mon cœur
Usé de se battre dans mes marées noires.
Je viens là déverser le flot de ma rancœur
Pour ne pas échouer sur l’ile du désespoir.
Je ne suis qu’un fantôme, avec toi je suis mort,
Je ne vis qu’en sommeil quand tu peuples mes songes.
J’attends tout le jour l’instant où je m’endors,
L’impatience me malmène et toujours me ronge.
Mes yeux n’ont que ces larmes peignant le tableau
De ce qu’hier m’a volé et ne rendra jamais.
Chaque matin me ramène à tous mes sanglots,
Le soleil me voit me réveiller à regrets.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire