Œuvre de Frédéric Biotteau
J’ai vu dans tes pensées le retour du printemps,
Dans tes yeux azurs la promesse des beaux jours.
J’ai su que tes baisers iraient chasser le vent
Pour offrir au soleil notre histoire d’amour.
J’ai lu que la rosée viendrait sécher mes larmes,
Que mon âme irisée pourrait alors éclore.
Aujourd’hui dans tes bras je peux baisser les armes,
Je suis devenue femme dans nos corps à corps.
En moi naitra l’été sous tes chaudes caresses,
Il aura le sourire d’un ciel sans nuage.
Il sera ce fruit que l’on couvre de tendresse
Pour que les couleurs viennent mûrir son visage.
Quand la mélancolie d’automne voudra me bercer,
Que le règne du gris me fera de la peine,
Vos regards m’apaiseront venant déverser
Des vagues de ce bonheur qui me rend sereine.
Et l’hiver passera emportant ses flocons
Car nous le brûlerons dans nos cœurs enflammés.
Nous serons tous les trois, blottis dans un cocon,
Regardant les saisons embellir nos années.
Dans tes yeux azurs la promesse des beaux jours.
J’ai su que tes baisers iraient chasser le vent
Pour offrir au soleil notre histoire d’amour.
J’ai lu que la rosée viendrait sécher mes larmes,
Que mon âme irisée pourrait alors éclore.
Aujourd’hui dans tes bras je peux baisser les armes,
Je suis devenue femme dans nos corps à corps.
En moi naitra l’été sous tes chaudes caresses,
Il aura le sourire d’un ciel sans nuage.
Il sera ce fruit que l’on couvre de tendresse
Pour que les couleurs viennent mûrir son visage.
Quand la mélancolie d’automne voudra me bercer,
Que le règne du gris me fera de la peine,
Vos regards m’apaiseront venant déverser
Des vagues de ce bonheur qui me rend sereine.
Et l’hiver passera emportant ses flocons
Car nous le brûlerons dans nos cœurs enflammés.
Nous serons tous les trois, blottis dans un cocon,
Regardant les saisons embellir nos années.
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