Œuvre de Frédéric Biotteau
Toi le passeur de rêves qu’on a oublié
Traçant sur le pavé des visages de craie,
Tu recrées l’éphémère sans jamais plier,
D’un courage sans gloire, l’artiste discret.
Tu es recouvert de ces poussières de couleurs
Qui s’attachent aux pas du profane insensible.
Sans regard et sans respect pour ton beau labeur,
Il use ton œuvre sans remord perceptible.
Je suis l’émerveillée qui regarde en silence
Tes traits s’enlacer pour esquisser l’harmonie,
Ton talent s’exprimer pour bafouer l’ignorance
De ceux qui ne voient pas de ton art la magie.
Ulysse de ma cité, l’homme de liberté,
Tu embellis ma ville, toi Van Gogh des rues.
Nous pourrons faire de Nantes un grand musée
Quand du sol tes tableaux ne s’effaceront plus.
Traçant sur le pavé des visages de craie,
Tu recrées l’éphémère sans jamais plier,
D’un courage sans gloire, l’artiste discret.
Tu es recouvert de ces poussières de couleurs
Qui s’attachent aux pas du profane insensible.
Sans regard et sans respect pour ton beau labeur,
Il use ton œuvre sans remord perceptible.
Je suis l’émerveillée qui regarde en silence
Tes traits s’enlacer pour esquisser l’harmonie,
Ton talent s’exprimer pour bafouer l’ignorance
De ceux qui ne voient pas de ton art la magie.
Ulysse de ma cité, l’homme de liberté,
Tu embellis ma ville, toi Van Gogh des rues.
Nous pourrons faire de Nantes un grand musée
Quand du sol tes tableaux ne s’effaceront plus.
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