Bienvenue dans mon univers ! Celui où l'Amour des mots et du papier est roi... Je suis : * Auteure de poésie, A fleur d'âme, publié aux éditions Les 2 Encres, mon premier recueil est la concrétisation d'un de mes rêves d'enfant. * Écrivain public en autoentreprise. * Créatrice en papeterie recyclée. * Animatrice d'Ateliers divers et variés : écriture, recyclage... Contactez-moi: laetitia.berlioz@gmail.com
samedi 21 décembre 2013
Délivrance
mardi 17 décembre 2013
Les temps changent et les gens passent…
Ces centaines de visages,
Ces regards de tous âges,
Leurs destins s’entrelacent.
Les temps changent et les gens passent…
Chacun suit son chemin,
Se délie quand se lasse,
Hier alors s’efface
D’un revers de la main.
Les temps changent et les gens passent…
Soudain un jour enfin,
Magie des instants-instincts,
L’Amour naît, prend place.
On s’allie et s’enlace,
A la vie on rend grâce
D’être main dans la main,
Sans peur du lendemain.
Le temps n’existe plus…
dimanche 11 août 2013
mardi 4 juin 2013
Je suis dans le journal :)

Cholet. Le secret de la pâte à papier
lundi 21 mai 2012
mardi 21 février 2012
Mes dernières réalisations de recyclage papier
Cette feuille A4 contient des inclusions de quatre herbes aromatiques. |
Colombo |
Éventail de feuilles où j'ai ajouté du colorant alimentaire rouge. |
Pigment bleu (servant à faire des peintures) offert par mon amie Léa Tirmant |
Pigment bleu + pétales séchés de roses N'hésitez surtout pas à me donner votre avis, vos commentaires divers, vos éventuelles idées et suggestions s'il vous plaît. Bien à vous, Sourire Laëtitia Berlioz |
mercredi 1 février 2012
Livres pliés : Les "hérissons" ou "niglos"
vendredi 27 janvier 2012
Ecrivain public
N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez.
Les divers commentaires et critiques (constructives de préférence) m'aident à progresser, à évoluer.
Merci à tous !
Sourire
jeudi 1 décembre 2011
Créatrice de papeterie recyclée




lundi 28 mars 2011
Etre à suivre...
dimanche 23 janvier 2011
Envers et contre tous

Le traque, l’attaque, il craque et débloque.
L’égo tique, étriqué à bloc, bien trop esthète,
A truquer sa quête intrinsèque, la disloque.
Narcissique il s’enfonce, s’encastre dans ses frasques,
S’esseule coincé face à sa glace encrassée,
Se creuse, se ride ce vide sous son masque
Puis, sans déclic, s’efface, laissé au passé.
Repoussant ses excès sur des cliques, des claques,
L’ « ASSEZ » de ses proches sonne en écho aphone.
Lassés par cent soucis assénés, ils le plaquent
Sans effleurer l’accès de ce cœur presque atone.
Sculptant ses stigmates qu’il ausculte sans cesse,
L’astigmate déchu essaie la cécité.
Sali par son arrogance, il se compresse
Dans son nombril dantesque et suit sa frivolité.
Malgré lui le ressac du tic-tac le rattrape,
Le tasse en passant jusqu’à l’affaisser, le plisse,
Lui croque sa superbe, le claustre sans trappe,
Sur place et sans complice il meurt en coulisses.
Cet acteur sans spectateur de sa déchéance
S’est lui-même éclipsé par manque d’éclectisme.
En terre entre ses planches, sans condoléances,
Il comprend l’ironie du sort de l’égoïsme.
lundi 10 janvier 2011
Je suis Céleste

Et de veiller sur moi comme on caresse une ombre.
Je dors à ses côtés quand mon cœur bat de l’aile,
Dans son manteau de ciel elle enfouit ma pénombre.
Les miettes cartonnées de ma vie courant d’air
Se laissent picorer par cet oiseau de nuit.
Sous ses draps étoilés je me sens plus légère,
De mon âme étiolée s’évadent les ennuis.
Ce cocon monochrome élève alors mes rêves,
Ceux que les yeux amers ne pourront avaler,
Même à me dévorer comme pour que j’en crève,
Ils n’auront pas les clés de ma bulle fêlée.
Quand les matins se lèvent, pour gagner mon pain,
Je vends ces sourires qui marchandent la joie,
Mais les regards aux pieds ne tendent pas la main,
Sans me voir rien d’humain un peu plus ils me broient.
Puis le soleil s’éteint et les nombrils du jour
Ramassent leur égo au creux des volets clos,
Dans le soir scintillant j’oublie leur désamour
Pour me panser d’un songe en dehors des enclos.
Le noir estompe alors ceux que l’on juge louches,
Je ne suis plus personne à n’être pas une autre.
C’est la misère au front que je regagne ma couche,
Je ne peux pas compter quand les moutons se vautrent.
Ma source d'inspiration pour ce poème est le roman "D'où je suis, je vois la lune" de Maud Lethielleux paru aux éditions Stock
vendredi 24 décembre 2010
samedi 18 décembre 2010
Voyage au centre de la tête

Caressant les silences d’un sourire inquiétant
Et s’évadant sans rien dire en soufflant pour de bon,
Elle attend que le temps tombe en amour de l’instant,
Qu’il en cesse ainsi son badinage vagabond.
Elle écoute alors une envoûtante mélodie,
Née au centre de ses ballades imaginaires,
A fleur de peau se déplume de tous ses non-dits,
Se déleste en mots pour se sentir l’âme légère.
Elle espère un moment que l’horloge détraquée,
Du même grain de sable à l’origine des perles,
Pourrait enfin empêcher la terre de tourner
Pour écrire des heures sans qu’elles ne s’éperlent.
Puis, installée dans sa bulle aux reflets orangés,
Elle effeuille son cœur sur des papiers pliés
Et, habitée d’automne, les laisse s’envoler
Pour leur danse éphémère encore s’émerveiller.
Elle part, toujours en quête au gré de ses « peut-être »,
Se remettre en question, chercher l’once de réponse.
L’empathie pour compagnon et l’amour en seul maitre,
Elle explore ses émotions, jamais ne renonce.
Une fois l’exutoire couché, l’histoire encrée,
Elle peut tourner la page, libre de ses songes,
Puis regagner le monde en sachant mieux s’y ancrer.
Sur ses maux essorés, elle passe enfin l’éponge.
vendredi 3 décembre 2010
De l'ombre à la lumière
Quand dans mon soir hagard j’ai croisé ton regard,
La magie du hasard a effacé mes doutes;
Brisant ma sombre errance, elle a guidé ma route
Pour mon âme lover au creux de tes égards.
Eperdue de malheur, perdue sous d’autres lunes,
Je traînais mon destin sans croire à l’avenir,
Puis mes pas m’ont portée vers toi, mon devenir,
Ainsi s’est enrayée la roue de l’infortune.
Avant toi je n’avais que la mort à étreindre,
J’étais remplie de vide au fond de mes désastres.
De mes nuits étiolées tu t’es fait le bel astre,
Le seul à rallumer mon cœur prêt à s’éteindre.
Tu as su aviver ma lumière intérieure,
Réveiller ces rêves que j’avais enterrés,
En donnant à ma vie tes couleurs éthérées,
Tu as chassé de moi ces démons antérieurs.
Je suis née à nouveau près de toi mon amour…
(…)
Quand je pense à tes mots je ressens leurs caresses,
Tu sais panser mes maux à force de tendresse.
Grâce à toi je peux voir se lever chaque jour.